GHOST WOMAN

Rock
GHOSTWOMAN vient d'annoncer son quatrième album en quatre ans, et compte bien asseoir son statut d'acteur majeur de la scène psych rock actuelle. "Welcome to the Civilized World" sort le 05/09/25 via Full Time Hobby, et Alive, son premier single imparable, est déjà disponible à l'écoute.

- Concerts
-
-
THIS IS NOT A LOVE SONG : BEAU WEEK-END
Du 27 Juin 2025 au 28 Juin 2025
De 38.00 € à 42.00 € PALOMA (Nimes)
Localiser sur la carte
-
THIS IS NOT A LOVE SONG : BEAU WEEK-END
Du 27 Juin 2025 au 28 Juin 2025
De 38.00 € à 42.00 € PALOMA (Nimes)
Localiser sur la carte
-
- Biographie
-
Ces compositions hypnotiques rendaient un hommage plus que réussi aux années 60 et 70 tout en sachant être surprenantes. « Anne,If », disponible depuis le 20 janvier dernier, continue l'exploration de ces territoires et s'autorise quelques incursions en terres krautrock ou encore country-folk. Uschenko évite l'idée que Ghost Woman est - au moins entièrement - un "projet solo", car les concerts sont très centrés sur le groupe, composé aujourd'hui de sa partenaire créative et romantique Ille van Dessel (Poolface) à la batterie, et de son co-conspirateur de longue date Nick Hay qui s'occupe de toutes les tâches liées aux cordes. Les chansons d'« Anne, If » qui ont trouvé le chemin de la scène au cours des nombreux concerts que le groupe a donné ces derniers mois en Amérique du Nord ont déjà commencé à prendre de nouvelles formes. Les aficionados de la scène garage/neo-psyché ont été gâtés par Evan Uschenko, l'homme derrière le projet Ghost Woman. Avec deux excellents albums en 7 mois, celui-ci a placé la barre très haut ! Le premier album (sorti le 01 juillet 2022), éponyme, nous propulsait immédiatement sur la planète du rock psychédélique. GHOSTWOMAN est un face-à-face entre la rouille tranchante des guitares d'Evan Uschenko et les frappes caustiques de Ille van Dessel, les menant ensemble vers un oubli commun. "Welcome to the Civilized World" se veut la distillation pure de cette vision partagée. Du premier brouillon à sa forme finale, seules les mains de GHOSTWOMAN ont touché ce disque. L'album naît dans un monde brisé ; un héritage corrompu, Uschenko et van Dessel ne se font aucune illusion quant à sa futilité, et pourtant, cette chose est bien vivante. C'est une réaction allergique à l'époque dans laquelle nous vivons : une boursouflure qui hurle d'être grattée, la purge d'un mal moderne qu'ils ne pouvaient plus digérer. Au-delà de toute rationalité, ce disque vient d'un élan viscéral, d'un manque total d'alternative. Nous sommes tous condamnés, mais le groupe continuera à jouer pendant que le navire coule.