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TRANSGLOBAL UNDERGROUND

TRANSGLOBAL UNDERGROUND

Electro


Collectif issu de la scène indo-pakistanaise londonienne, dite Asian beat, élevé au punk et sound-systems, mais n'ayant pas perdu de vue ses racines orientales.


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Biographie

Si l'expression « collectif à géométrie variable » est aujourd'hui aussi répandue que les groupies de Moby, elle est pourtant celle qui colle le mieux pour définir la formation Transglobal Underground. Ce qui fut à l'origine un trio composé d'Alex Kasiek, Tax D et Hamid Bantu enregistra au début des nineties, avec les moyens du bord, le titre « Temple head », qui deviendra la chanson emblématique du groupe. Et « Single of the week » dans le défunt Melody Maker, bande son de la pub Coca-Cola en 1996... C'est Nation, maison menée par Aki, leader de Fundamental, qui repère le groupe et sort le single. S'ensuivra une longue coopération ponctuée par cinq albums et une compilation. Au fil des enregistrements et des concerts, les membres de Transglobal Underground changent et s'échangent. En leur sein se révèle Natacha Atlas, la diva égyptienne qui réussira ensuite une carrière solo estimable. Transglobal Underground devient, aux côtés d'Asian Dub, leader de la scène indo-pakistanaise londonienne, dite Asian beat. Seconde communauté immigrée, après les Jamaïcains, à s'exprimer avec succès en Angleterre, à briser les frontières... A la fin du siècle, le groupe obtient une forte reconnaissance médiatique, sur la foi des albums « Interplanetary meltdown » et « Rejoice, rejoice ». De nombreux remixes leurs sont commandés (Dodgy, PWEI...), ils écument les festivals. L'intérêt retombe, le groupe se disperse. Mais reste bien vivant, retrouvant ses racines underground. Un nouvel album parait en mars 2001, le premier hors du giron Nation.





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