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MELISSA BON

MELISSA BON

Soul/Funk/Groove


La chanteuse franco-genevoise de 25 ans signe «Away», un premier album à la justesse minimaliste, gorgé d'influences jazz, soul et électro. Ce premier EP est composé de quatre morceaux divins, dont l'ampleur vocale rappelle Dido, Tracey Thorn et autres grandes icônes. De quoi laisser envisager le meilleur pour cette artiste franco-suisse vraiment à suivre.


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Biographie

Au bord des déserts arides du monde, fleurissent les fleurs les plus spectaculaires et les plus éblouissantes. Et ce n'est qu'après avoir traversé une période sombre, comme un désert intérieur, que Melissa Bon laissa émerger sa voix mezzo-alto, sa voix sublime et veloutée et sa manière particulière de la moduler en bobines infiniment opaques. Peu de chanteuses ont osé se lancer dans une aventure comme la sienne. C'est plus souvent du côté masculin que l'on s'attend à trouver des chanteurs - comme James Blake ou Rhye - associés à une écriture musicale aussi poignante, magistrale, concise et ultra sensible et à une âme électronique hybride. Voici un premier EP qui ressemble à une naissance, et il est difficile d'imaginer qu'à l'âge de 24 ans, Melissa Bon pourrait un jour chanter différemment, tant son style est juste et sa personnalité tendrement introvertie. Les deux premières chansons de ce travail fondateur ne sont pas apparues par hasard. La belle Melissa, originaire de Genève, d'origine franco-suisse et éthiopienne et complètement bilingue en français et en anglais, les a littéralement «crachés» sur un vol qui l'a emmenée de New York à Paris. Il semble qu'une surabondance d'émotions ait finalement percé son armure et ait permis à un cœur percé de mots essentiels de déborder dans des mélodies organiques touchant les profondeurs de l'abîme - une méthode intime comme un exorcisme, une thérapie. Car jusqu'alors, Melissa n'avait jamais écrit une chanson ou, par timidité, jamais osé dire à quelqu'un du remous impétueux de ses pensées. Un miracle parce que, ici, la catharsis touche l'interprète et l'auditeur, soudainement percé et attiré par la vérité étincelante de la chanson. Avant ce moment, Melissa Bon avait probablement passé la plus grande partie de ses jeunes années à essayer de se retrouver. Quand elle avait 12 ans, elle passait des heures dans sa chambre en imitant Sade ou Beyoncé, achevant la première étape de sa formation musicale sans s'en rendre compte. Puis, à l'âge de 15 ans, elle a été sélectionnée pour rejoindre l'association Little Dreams, créée par Phil Collins, un groupe de jeunes chanteurs participant à des événements caritatifs. Entre 15 et 18 ans, elle apprend ainsi la "scène", chantant parfois devant des stars internationales telles que Natalie Cole, Jermaine Jackson et Youssou D'Dour et réinterprétant Adèle ou Melody Gardot devant des publics sophistiqués et peu attentifs. Intuitivement, elle a abordé le jazz, a commencé à écouter Billie Holiday, Nina Simone et Ella Fitzgerald ont exploré joyeusement les profondeurs vertigineuses de sa voix unique, capable de faire des objets tranchants et des appartements langoureux. Une année passée à étudier dans un centre de musique professionnel à Paris a complété son apprentissage. Puis vint l'aventure plus ou moins saugrenue de The Voice, que Swiss Melissa, n'ayant aucun contact sur la scène musicale française, entra aveuglément, obtenant des commentaires admiratifs du jury sur son chemin. Elle a essayé à nouveau. Et il a fallu une longue visite à New York où, pour le meilleur ou pour le pire, elle s'est frottée au showbiz américain, pour qu'elle se retrouve enfin. Ensuite, tout s'est déplacé plus vite. De retour à Paris, elle a eu une rencontre décisive avec Manu Larrouy et Jean-Paul Gonnod, l'équipe de production qui lui a concocté ces arrangements sur mesure et l'a présentée au séduisant et insolite pianiste de jazz Alexandre Saad, «inventeur» du la mélodie intérieure, un concept minimaliste et impressionniste qui s'accorde parfaitement avec les compositions délicatement hypnotiques de Melissa Bon et les étapes sinueuses de son voyage intérieur. Avec ses notes de piano apparemment jetées dans le vide et ses sons électroniques évocateurs imperceptiblement le tic-tac obsessionnel du temps qui passe, "Blank" présente une page vide, la pause momentanée avant le grand envol de l'inspiration. Mais la pièce pourrait aussi signifier autre chose, si sibylline et elliptique que reste l'univers de l'auteur-compositeur. "Nomad" sonne comme un travail futuriste de Satie et la surprend au milieu du courant, entre folie et santé mentale, interrogeant douloureusement l'état dans lequel elle se trouve. Nous sommes saisis par la grâce spirituelle de "Away", une chanson gospel destinée à calmer les peurs d'une jeune femme qui admet qu'elle est «perdue dans la traduction», comme on murmure une prière pour se rassurer face au danger. Enfin, "One" et ses couleurs sonores chatouillantes résonnent dans nos oreilles comme une renaissance dont la charge émotionnelle nous submerge. "Blank" présente une page vide, la pause momentanée avant le grand vol d'inspiration. Mais la pièce pourrait aussi signifier autre chose, si sibylline et elliptique que reste l'univers de l'auteur-compositeur. "Nomad" sonne comme un travail futuriste de Satie et la surprend au milieu du courant, entre folie et santé mentale, interrogeant douloureusement l'état dans lequel elle se trouve. Nous sommes saisis par la grâce spirituelle de "Away", une chanson gospel destinée à calmer les peurs d'une jeune femme qui admet qu'elle est «perdue dans la traduction», comme on murmure une prière pour se rassurer face au danger. Enfin, "One" et ses couleurs sonores chatouillantes résonnent dans nos oreilles comme une renaissance dont la charge émotionnelle nous submerge. "Blank" présente une page vide, la pause momentanée avant le grand vol d'inspiration. Mais la pièce pourrait aussi signifier autre chose, si sibylline et elliptique que reste l'univers de l'auteur-compositeur. "Nomad" sonne comme un travail futuriste de Satie et la surprend au milieu du courant, entre folie et santé mentale, interrogeant douloureusement l'état dans lequel elle se trouve. Nous sommes saisis par la grâce spirituelle de "Away", une chanson gospel destinée à calmer les peurs d'une jeune femme qui admet qu'elle est «perdue dans la traduction», comme on murmure une prière pour se rassurer face au danger. Enfin, "One" et ses couleurs sonores chatouillantes résonnent dans nos oreilles comme une renaissance dont la charge émotionnelle nous submerge. L'univers de l'auteur-compositeur reste si sibyllin et elliptique. "Nomad" sonne comme un travail futuriste de Satie et la surprend au milieu du courant, entre folie et santé mentale, interrogeant douloureusement l'état dans lequel elle se trouve. Nous sommes saisis par la grâce spirituelle de "Away", une chanson gospel destinée à calmer les peurs d'une jeune femme qui admet qu'elle est «perdue dans la traduction», comme on murmure une prière pour se rassurer face au danger. Enfin, "One" et ses couleurs sonores chatouillantes résonnent dans nos oreilles comme une renaissance dont la charge émotionnelle nous submerge. l'univers de l'auteur-compositeur reste si sibyllin et elliptique. "Nomad" sonne comme un travail futuriste de Satie et la surprend au milieu du courant, entre folie et santé mentale, interrogeant douloureusement l'état dans lequel elle se trouve. Nous sommes saisis par la grâce spirituelle de "Away", une chanson gospel destinée à calmer les peurs d'une jeune femme qui admet qu'elle est «perdue dans la traduction», comme on murmure une prière pour se rassurer face au danger. Enfin, "One" et ses couleurs sonores chatouillantes résonnent dans nos oreilles comme une renaissance dont la charge émotionnelle nous submerge. une chanson évangélique aérée destinée à apaiser les craintes d'une jeune femme qui avoue être «perdue dans la traduction», comme on murmure une prière pour se rassurer face au danger. Enfin, "One" et ses couleurs sonores chatouillantes résonnent dans nos oreilles comme une renaissance dont la charge émotionnelle nous submerge. une chanson évangélique aérée destinée à apaiser les craintes d'une jeune femme qui avoue être «perdue dans la traduction», comme on murmure une prière pour se rassurer face au danger. Enfin, "One" et ses couleurs sonores chatouillantes résonnent dans nos oreilles comme une renaissance dont la charge émotionnelle nous submerge. Il est rare de voir fleurir le désert. Et pourtant, avec la survenance de cet événement unique, nous offrant son premier EP, Melissa Bon nous fait sentir que nous en sommes témoins.

Videos
Melissa Bon - Nomad (2018) Melissa Bon - Nomad (2018) Melissa Bon - Blank (2018) Melissa Bon - Blank (2018)




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